Le Vénitien Alberto Ongaro mène dans ses romans une réflexion très personnelle sur l’écriture, apte à faire renaître une belle littérature populaire, qui puise à la source fondatrice de Stevenson, Conrad ou Dumas, mais aussi chez Nabokov ou dans le cinéma américain des années 1950.
Il est ici à la librairie l'Autre Rive de Toulouse, invité pour la saison culturelle européenne, et nous parle de son parcours, italien, argentin, de sa collaboration avec Hugo Pratt, du processus de création...
Réalisé par Katia Kovacic.

Les romans d'Alberto Ongaro sont traduits aux éditions Anacharsis par Jean-Luc Nardone et Jacqueline Malherbe-Galy :

  • La Taverne du doge Loredan Les entrailles à ciel ouvert de l’art de la fiction : Venise, un manuscrit perdu, un roman d’aventures avec une pincée de fantastique.
  • Le Secret de Caspar Jacobi Les aventures de l’écrivain vénitien Cipriano Parodi au pays de la littérature populaire ; c’est-à-dire des zombis du Baron Samedi.
  • La Partita Nihil ou totum : un coup de dés déclenche un roman fellinien voué à ne jamais se terminer. Casanova et Venise sous la glace.
  • Rumba Polar envahi par l’ombre du Faucon maltais projetée au Brésil au son d’une étrange rumba dulce y bonita ; comment passer la tête dans un nid de frelons.
  • L'Énigme Ségonzac Roman d’aventures à la Dumas, avec un duel, un nain malandrin et un mystérieux tableau inachevé.
  • Suite vénitienne Thriller vénitien au goût rétro, roman à l’eau de rose acide.